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Privilégiés pour leur confort plutôt que pour les performances sportives, les vélos de ville sont des alliés idéaux de la réalisation de trajets urbains courts et/ou d’allers-retours vers le lieu de travail chaque jour. Découvrez notre guide d’achat pour mieux connaître les différents types de vélos de ville disponibles et choisir le plus adapté à votre morphologie ainsi qu’à vos habitudes et usages quotidiens.
Avant de se pencher plus en détails sur les multiples typologies de bicyclettes de ville existantes sur le marché, attardons-nous sur les divers avantages et bénéfices d’en posséder une. Parmi les premiers points positifs, celui d’exercer une activité physique régulière en se déplaçant à vélo afin de garder la forme est à citer en priorité. Sans compter que la géométrie du deux-roues urbain implique une conduite en “position debout” (ou “droite”) qui permet à la colonne vertébrale de conserver sa position naturelle. Ensuite, le fait d’opter pour une mobilité douce et respectueuse de l’environnement, car non émettrice de gaz à effet de serre, est également un facteur notable à souligner quand on choisit d’acquérir un vélo de ville pour ses déplacements du quotidien. Outre ces faits relevant du bien-être de celui qui l’enfourche et son environnement, se tourner vers un vélo urbain, c’est faire le choix du confort et de la sécurité grâce à ses multiples équipements à l’épreuve de la ville.
Caractérisés par leur solide cadre en acier, des pneus plus larges ainsi qu’une selle au confort amélioré, les vélos urbains sont bien souvent dotés d’accessoires qui font la différence. On peut par exemple nommer le système d’éclairage qui permet de se déplacer la nuit en étant vu, la sellerie porte-bagages intégrée qui est parfaite pour transporter les courses ou encore les garde-boues parfaits pour limiter les projections en cas de circulation sur route mouillée ou boueuse. Ceci sans compter la béquille pour faciliter chaque stationnement, ou la possibilité d’installer un siège enfant à l’arrière pour transporter vos chérubins. En résumé, pour se déplacer plus rapidement en ville et se dégager des problématiques liées à la voiture (carburant, embouteillages, stationnement), le vélo urbain est un choix parfait.
Que l’on soit adepte de l’intermodalité ou du “vélotaf” ; que l’on cherche à effectuer des sorties entre ville et campagne ou, encore, que l’on veuille tout simplement faire du vélo en ville même si l’on n’est pas un grand sportif : il existe différentes typologies de vélos urbains répondant aux usages et besoins de chacun.
Avec son cadre robuste dît en “col de cygne”, le vélo hollandais – ainsi nommé pour son origine en provenance des Pays-Bas – allie confort et praticité. Doté d’une selle rembourrée, il s’agira d’une bicyclette idéale pour faire face aux épreuves de la ville exclusivement. Avec son guidon surélevé et son tube de selle abaissé, le vélo hollandais offre au cycliste une position assise droite, confortable et ergonomique. On le trouve souvent avec une dynamo qui alimente l’éclairage et un pare-chaîne intégré, ce qui en faitle parfait allié des trajets en environnement urbain. Le vélo de ville hollandais n’a pas d’objectif sportif, mais plutôt des fins pratiques.
Avec une allure comparable aux VTT, les vélos tout chemin se veulent plus polyvalents que leurs homologues adaptés à des terrains plus escarpés. En effet, comme leur nom l’indique très clairement, les VTC sont capables d’emmener le cycliste aussi bien sur route que sur des surfaces plus accidentées telles que des chemins ou sentiers avec un certain dénivelé. Munis de pneus légèrement crantés, plus larges que ceux d’un vélo de route classique, mais moins que ceux d’un VTT, ils offrent une stabilité accrue et restent parfaits pour affronter les situations urbaines.
Les bicyclettes pliantes sont les meilleures amies des cyclistes adeptes des trajets intermodaux. Transportable comme une valise dans le bus, le train, le tramway ou le métro, ou facile à ranger dans le coffre de la voiture pour stationner cette dernière en dehors de la ville avant de finir le trajet en selle, le vélo de ville pliable plaira aux personnes résidant ou travaillant dans les grandes agglomérations difficiles d’accès en automobile. De plus, avec leur charnière centrale leur permettant de se replier sur eux-mêmes en quelques instants, il est facile d’envisager un stockage à domicile à l’intérieur d’un placard et évite d’avoir à investir dans un porte-vélo.
Pour les personnes souhaitant bénéficier de tous les atouts du vélo de ville, à savoir ses équipements (éclairage, porte-bagage, garde-boues, etc.) et sa position haute, tout en ayant l’opportunité de parcourir quelques kilomètres à plus d’une dizaine de kilomètres maximum au quotidien, le vélo de ville à assistance électrique est tout indiqué. Affronter les montées sans transpirer, se défaire des embouteillages rapidement… Avec l’assistant électrique qui permet de grimper jusqu’à 25 kilomètres par heure sans trop s’essouffler (selon le mode choisi), les trajets en VAE de ville s’effectueront dans un grand confort et avec une rapidité déconcertante.
Il n’est pas rare, au moment de devoir choisir un vélo pour un usage urbain, de ne pas savoir que choisir entre un vélo de ville classique et un vélo tout chemin. Pourtant, dans leur nom respectif, la différence est déjà très explicite.
Chaque vélo ayant ses propres caractéristiques, celui de ville sera exclusivement destiné aux surfaces urbaines (pavés, route, béton…) quand le VTC sera plus hybride en permettant de parcourir du bitume comme des chemins campagnards (gravier, terre, racines, etc.).
Autre différence, la géométrie du VTC avec son guidon droit et son aspect plus robuste va contraster avec celle du vélo de ville, son guidon arrondi et son cadre en “col de cygne” pour une posture droite. Enfin, on cherchera une performance accrue en selle avec un VTC même s’il sera possible d’atteindre une certaine pointe de vitesse au guidon d’un vélo de ville.
Selon la Loi, quel que soit le vélo utilisé, il faut garder à l’esprit qu’un certain nombre d’équipements sont obligatoires. En effet, le port du casque est imposé jusqu’à l’âge de 12 ans (et fortement recommandé ensuite !), de même le port d’un gilet de haute visibilité hors agglomération ou en cas de luminosité insuffisante.
En matière d’éclairage, le vélo doit être muni d’un ou plusieurs catadioptres rouges à l’arrière, de catadioptres oranges visibles sur les côtés et les pédales, ainsi que d’un catadioptre blanc situé à l’avant. En situation de luminosité insuffisante ou de nuit, des feux de position avant et arrière non éblouissants, mais suffisamment visibles doivent être présents. Par ailleurs, un avertisseur sonore (ou sonnette) pouvant être entendu à 50 mètres au moins est impératif. Tout défaut de l’un des équipements mentionnés ci-dessus peut entraîner une amende forfaitaire pouvant grimper jusqu’à 750 euros.
Après avoir détaillé toutes les obligations en matière de sécurité, il existe d’autres accessoires facultatifs recommandés pour renforcer la sécurité en selle : l’écarteur de danger avec réflecteur qui se fixe à l’arrière du vélo, les rétroviseurs pour voir à l’arrière sans tourner la tête et l’antivol pour éviter de se faire dérober son vélo lorsque celui-ci est stationné.